Premiers jours en Inde, nous retrouvons avec plaisir des rues pleine de vie, les gens discutent echangent nous arnaquent avec grand plaisir et un air serieux, les femmes sourient et surtout elles sont pleines de couleurs et leu ventre a l'air ( youhou). La rue est une ville en elle meme: une succession d'epaisseur sde flux differents, de magasins, de pietons, de vehicules divers.
Les voitures ici sont peu nombreuse, elle sont remplacees par des motos plus efficace pour avancer dans cette foule. Nous prenons souvent un "rikshaws" (petit taxi construit soit sur la base d'un velo ou celle d'un scooter voir la photo ci dessus) pour nous deplacer. Chennai (autrefois Madras) est enorme avec ses 7 million d'habitant, elle est la troisieme plus importante ville du pays, moi j'immagine que dans cette ville il y a a peu pres autant d'habitants que dans toute l'Autriche..
Vue sur la grande avenue du bazar a Hyderabad, ici il y a une grande part de la population musulmane, on reste dans le bain. Les magasins s'installent sur la rue, de dessus il est difficile de les distinguer des marchant embulant et des "rickshaws" arrete sur le bas cote.
Detail du plafond d'un metro de chennai. Alors que le wagon est entierement vide je realise avec surprise l'ettonante installation artistique. Ce metro aux portes toujours ouvertes, et aux wagons non mixtes ( un cote pour les femmes, un pour les hommes) est un des meilleur moyens de parcourir la ville qui est un labyrinthe geant pour nous.
On reste etonnes, surpris par les contrastes. A ne pas vraiment comprendre e sens de 60 pour cent de ce qui se passe autour de nous, a essayer de s'adapter aux differences.
Les artisants sont encores nombreux a travailler manuellement, ici un menuissier taille dans la masse un enorme panneau de bois pour la decoration d'un lit. Beaucoups d'entre eux ont leur atelier directement ouvert sur la rue. Les tailleurs sont tres nombreux a Chennai comme a Hyderabad, on peut pour l'equivalent dune dizaine d'euros se faire tailler des vetements sur mesure.
Les maisons traditionelles sont rares. Cependant on trouve dans les quartiers les plus pauvre des cabanes construite de la maniere suivante: il s'agit d'un tissage de feuille qui protege des intemperie.
Ce revetement naturel s'addapte tres bien a une structure legere de branches.
Nous sommes très heureux d'avoir des nouvelles, un peu perdus, c'est vrai, dans le dédale de votre site qui est un vrai labyrinthe et pas seulement pour Grand-mère. Vous connaissant, c'est sans doute volontaire. Vous voudriez nous égarer que je n’en serais pas étonné mais nous nous accrochons car quelques mots et une photo inédite suffisent à notre bonheur. Voilà à quoi en sont rendus les parents éplorés. Bon vent, les enfants, goûtez votre bonheur ! PS : à l’occasion, existe-t-il un numéro où vous appeler le 12 juillet ?
on attend des récits d'Adrien. on a du mal à retrouver le fil. bon travail sur le chantier.
Nous avons du retard dans la redaction de nos articles, nous avons donc ajouté trois pages cette semaine.