Semaine 5: DUBAI

16/6/09

Bonjour chaleur torride et bonjour humidite! A partir du moment ou nous sommes sortis du bus a Bandar (7h du matin et deja une chaleur ecrasante), nous avons constament oscille entre le tres-chaud-et-tres-humide et le tres-froid-et-tres-sec:  les moments insuportables a l'exterieur, dans des villes ou rien ne protege du soleil, ni arbres ni immeubles, (ce qui est souvent du a une orientation tellement ridicule qu il n y a meme pas un trottoir a l ombre durant 8 heures par jour dans les rues) auquels s'ajoutent la pollution, les odeurs et les distances eeeeeeennnnnnnnnooooooooorrrrrrrrrmmmmmmmmes pour les pietons. Et les moments a l' interieur, a trembloter sous les clims, a s'envoler sous les ventilateurs, ou a fondre lorsque ni l une ni l autre ne sont presentes.

Une semaine pour se rendre compte des avantages climatiques des differents types d architecture et modes de constructions que nous visitons et habitons. Une semaine pour sentir a quel points les arbres sont des regulateurs climatiques incroyables dans les villes, les maisons traditionnelles un must, le beton une aberation, les rythmes de vies importants.

On a donc quitte l'Iran en ferry, avec le vague espor de trouver un bateau pour l Inde. Espoir perdu a Dubai, on prendra finalement un avion,

DUBAI:

Nous arrivons au port de Sharjah a 10 km de Dubai, entoures pas des millier de grues gigantesques. Ce sont des platteformes petrolieres visiblement hors service qui attendent leur installation.

Chacunes de ces grues est comme une petite ville. C'est apres nos 6 heurs de catamaran-ferry voyageur que nous appercevons le port: introduction a cette megapole qui borde la cote des Emirats arabes unis, entre Sharjah et Dubai.

Face au port gigantesque, le port traditionel: on embarque sur un petit "dhow"  pour rejoindre le centre ville de l'autre cote. Le conducteur vient de Birmanie , comme 80 pour cent de la population il est venu chercher du travail ici ces dernieres annee. La ville est en metamorphose constante. La plupart des immigres travaillent dans des conditions souvent miserables quand ils ne sont pas esclaves modermes a la construction de la ville. Ils vivent dans conditions precaires, la plupart fuyant des zones de conflit (Pakistan) ou la misere (Philipinnes), ils ne sont souvent pas autorises a venir s'installer en famille ( aucun chauffeur de taxi a Dubai n a le droit d'etre marie) et une fois le contrat termine, hop retour par le premier charter au pays.

Mais la crise frappe Dubai, un chauffeur nous montre les chantiers abandonnes: "ici, il n'y a plus que le metro qui se construit, le reste attend.." 

Au millieu des gratte-ciel des construction traditionelles faites dans un melange de terre, sable et de bois. Bien retaure les maigres restes historiques sont fierements exhibes pour plaire aux visiteurs.

La ville ne peut etre traversee qu'en voiture (de preference un immense 4 4 climatise) . Rien n'est prevu pour permettre ce circuler a pied, et les bus avec lesquels nous sillonons la ville peinent a parcourir les immenses distances. La vie existe uniquement dans les tours climatisees. Il n'y a pas de logique apparentes dans l' evolution de construction. Les tours sont errigees ici ou la, sans repondre la plupart du temps a des probleme de densitee. Beaucoup sont simplement posees sur le desert avec un acces unique par une route principale.

Il n'y a pas beaucoup d'activitee dans les rues du centre ville, beaucoup des voitures. A Dubai surtout, tout se concentre dans d' immenses ( mais ici immense veut vraiment dire immense) centres industriels assez vides ( oui oui, c'est la crise).

La difference est grande entre le Dubai touristique  et les "banlieues' plus ou moins riches.Dans la premiere on va a la plage, et on entend claquer les talons aiguilles des jeunes  occidentales toujours extremement deshabillees qui croisent sans les voir les riches "Mme petrole" (les emirates, elles sont couvertes de haut en bas, bien plus que les iraniennes..) A Sharjah ou nous logeons c'est un peu l'Inde deja. Nous sommes en plein coeur du quartier indien, les murs sont placardes d'annonces de locations de lits ou de chambres pour "young indian bachelor' ou autre 'indian nurse'. Plus loin c'est le bidonville qui commence, bienvenue a little Pakistan. Les commerces sont assez developpes, ici on trouve (enfin) de tout et surtout n'importe quoi.  Chaque litre d'eau consomme vient de france ou d'ailleurs. Probablement la chose la plus authentique a faire a Dubai est un tour de chameau dans les dunes du "Safari park".

A l'arriere plan la skyline mythique de l'avenue principale : le "broadway" des emirats est une autoroutes de deux fois 6 voies. Sur la Droite une tour plus haute que les autres; il sagit de la Burj Dubai la plus haute tour du monde ( 820m).  

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